Vengeances des orgueils bafoués, crimes de miséreux, parricides ou bourreaux d'enfants... Des faits de violence secouant la société finistérienne, l'on peut dégager les thèmes universels de la haine, de l'honneur, de la folie, de l'amour contrarié. Mais l'on peut aussi vérifier dans les dossiers d'archives judiciaires l'influence de la misère ou de l'alcool sur le passage à l'acte criminel.