Lorsqu'il meurt en duel à 20 ans, Evariste Galois a déjà achevé le traité de mathématiques qui lui assure la postérité. A l'image de sa vie tourmentée et frénétique que la fièvre révolutionnaire de Juillet 1830 galvanisa, ce roman biographique, si peu conventionnel, est une météorite.