L'absolu« Combien d'insultes se préparent contre mon humilité cosmique... L'heure commence où une génération neuve naît de mon oeuvre neuve : l'oeuvre est là, partout en ma tête ; c'est une oeuvre gigantesque : j'ai mal à la tête.J'ai chanté ici, auprès de vous, mes pages, dans notre intimité, l'approche amoureuse de Celle que prétextant tout ils ont tous fui : la Présence.Les penseurs : y en a-t-ils ? Où sont-ils ? Ont-ils place derrière leurs oreilles de cocker, ces moins que chancres ?Je chante la teneur de la Substance Prime, par-dessus la tête des mondes philosophiquement constitués.Il y a, avant que de dire combien ils ont retenu la Vérité captive,Il y a, avant de dire la désobstruction de la conscience réflexive et la source trinitaire de cette énergie spirituelle,Il y a, entre mes mains, dans ce Journal qui devance l'oeuvre principale,Il y a ce nocturne sourdissant avant la profonde Aube de pourpre. »Maxence Caron Octobre 2005