Toute vie comporte sa part de souffrance, parfois écrasante. Entre la valorisation de cette souffrance, solution rejetée à juste titre aujourd'hui, et l'idée que la vie n'a pas de sens, existe-t-il une troisième voie? Marie-Thérèse Nadeau nous propose de réfléchir au mystère de la souffrance à partir de la vie. Pas question pour elle de légitimer une réalité par nature insensée, ni de l'accepter sans avoir mené contre elle le farouche combat qui s'impose. Pour autant, la souffrance n'est pas que non-sens. Au nombre de ses bienfaits figurent une meilleure compréhension de soi, des autres et du monde; l'émergence d'une vie plus authentique; une communion plus intime avec Dieu; l'humilité, la générosité et la gratuité; l'ouverture à des solidarités imprévisibles, et enfin l'espérance.Entre la valorisation de cette souffrance, solution rejetée à juste titre aujourd'hui, et l'idée que la vie n'a pas de sens, existe-t-il une troisième voie ? Pour Marie-Thérèse Nadeau la souffrance n'est pas que non-sens. Au nombre de ses bienfaits figurent une meilleure compréhension de soi, des autres et du monde; l'émergence d'une vie plus authentique; une communion plus intime avec Dieu; l'humilité, la générosité et la gratuité; l'ouverture à des solidarités imprévisibles, et enfin l'espérance.