A partir d'une lecture de son oeuvre, cet essai montre en quoi Thérèse d'Avila peut être considérée comme folle : esprit enfermé dans sa foi, incapable du moindre doute ou de la moindre question sur le monde d'illusions qui lui a été enseigné. Une lecture en même temps pleine d'humour, à partir de pages que R. Pommier juge comiques, bouffonnes et dignes de rivaliser avec celles de Cervantès.